Dans le cadre de son programme de sensibilisation au Développement Durable, la Fondation Schneider Electric accompagne l’association Gold of Bengal à travers le projet Nomade des Mers qui une expédition pour la recherche et la valorisation des « low-tech » chez les plus défavorisés.
Présente dans plus de 130 pays à travers le monde, spécialiste mondiale de la gestion de l’énergie et leader sur différents marchés, Schneider Electric à travers sa fondation développe davantage sa politique de Responsabilité Sociétale d’Entreprise (RSE) par le biais de l’éducation, la sensibilisation et la formation professionnelle dans le domaine de l’énergie les communautés les plus défavorisées.
Et accompagner Gold of Bengal dans le projet Nomade des Mers afin que les expériences et les technologies puissent être partagées entre les communautés par le canal de l’équipage nourrit bien l’engagement de Schneider Electric pour la préservation des ressources naturelles. 
« Avec nos ressources énergétiques qui sont en train de se raréfier, on a cette responsabilité vis-à-vis de nous-mêmes, de nos clients mais aussi de la planète de promouvoir ces innovations qui vont permettre d’agresser un peu moins la nature », souligne le directeur de Schneider Electric Atlantic, Ismaïla Diaw.
Par conséquent, « la RSE, pour nous, ne se limite pas uniquement à nos employés, à nos clients. C’est d’abord une responsabilité par rapport à la planète parce qu’on est sur une terre qui nous appartient tous. On a cette capacité d’être avant-gardiste, c’est une responsabilité sociétale que nous sommes en train d’assumer pleinement », poursuit Ismaïla Diaw.
Et dans une dynamique de mise en œuvre d’un programme d’accès à l’énergie pour tous, par le renouvelable, « la Fondation a recentré dans un premier temps ses actions autour de la formation professionnelle des plus défavorisés aux métiers de l’énergie. Aujourd’hui, depuis le début du programme on a contribué à former 100 000 jeunes à travers le monde entier avec une trentaine de projets en Afrique et un au Sénégal où on espère développer trois autres qui sont en cours d’études pour une initiative de formation », explique la directrice des programmes de la Fondation Schneider Electric, Patricia Benchenna.
Crée en 1998, la fondation Schneider Electric a recadré ses actions en 2008 autour d’un programme d’accès à l’énergie, « en se disant que si, comme entreprise, on développe et on innove autour de solutions qui permettent l’accès, on se doit aussi les mettre à disposition dans les pays avec les jeunes qui ont les compétences pour faire grandir ces installations et les maintenir », poursuit-elle.
Par Saër SY
