L’« intervention du président de la République» algérien dans la réforme phare de la Loi de finances complémentaire 2018 a permis d’abandonner la possibilité pour les investisseurs non algériens de bénéficier de concessions sur les terres agricoles, selon des sources officielles.
« Le président de la République est intervenu pour annuler le projet.», confie notamment une source à Reuters.
Un rétropédalage que justifie le directeur général de l’Office des terres agricoles (Onta), Kennis Messaoud, par la nécessité de sécuriser le foncier agricole. Toutefois, explique-t-il à Algérie Eco, les investisseurs étrangers pourront continuer de participer à l’exploitation des terres arables algériennes, « à condition qu’ils aient des droits algériens ».
Moctar FICOU / VivAfrik


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