C’est avec effarement que la mission de contrôle conduite par le directeur national des eaux et forêts, Biramou Sissoko, a fait le constat dans la zone de Kéniéba. Alors que seules 400 autorisations de coupe d’arbres avaient été prévues par les autorités étatiques en charge de la question, c’est au final 5 000 qui ont été délivrées par les responsables locaux.
Ce qui constitue selon malijet.com un déni des règles gouvernementales et de la protection de notre environnement qui, pourtant, est la raison qui vaut leur emploi par le pays. On apprend que l’Inspecteur général a transmis son rapport succinct à sa hiérarchie. Pourvu que des décisions soient prises, car la lutte contre la désertification passe d’abord par le choix d’acteurs qui en ont pleine et entière conscience.
Moctar FICOU / VivAfrik


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