« Avant, il pleuvait régulièrement, la récolte était bonne. Aujourd’hui, c’est complètement différent », se désole Amor Slama, un oléiculteur tunisien de 65 ans dont la famille possède quelque 125.000 pieds d’oliviers sur 230 hectares à Mornag, au sud de Tunis.
La version originale, de ce reportage effectué par l’Afp, est en vidéo pour une durée de 02:20