Dr Mabouba Diagne a initié, structuré et clôturé au cours des 15 dernières années, plus 12 milliards USD de transactions dans divers secteurs de l’industrie, notamment l’énergie, les infrastructures, l’exploitation minière, la fabrication, le pétrole, le gaz…
Le tout nouveau ministre Sénégalais de l’Agriculture de la Souveraineté alimentaire et de l’Elevage, Mabouba Diagne, n’est pas en terrain inconnu. Ce banquier ayant gravi les échelons dans son domaine professionnel reste tout de même un fervent agriculteur. A son actif, il exploite depuis des décennies une ferme agricole dans laquelle, le banquier emploi des jeunes ingénieurs fraichement sortis des universités. Et ses résultats dans ce domaine ne sont plus à démontrer.
« Confié à cet homme un ministère tel que l’agriculture peut présager des lendemains meilleurs pour ce secteur. Qui se trouve être le talon d’Achille de tous nos gouvernants qui sont passés par là », nous a confié un de ses anciens promotionnaires de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis.
Docteur Mabouba Diagne est sénégalais et a grandi dans la banlieue de Yeumbeul. Après avoir obtenu ses diplômes de Maitrise et DEA à l’université Gaston Berger de St Louis au Sénégal en 1995, il a obtenu une bourse des Nations Unies et il est allé en Europe (Italie, Allemagne et Londres) pour poursuivre ses études de doctorat et faire sa carrière internationale comme banquier d’investissement.
« Un homme qui œuvre dans le social et la communauté »
Pour servir les communautés où il a vécu, il a aussi initié plusieurs campagnes de travaux communautaires. Dr Diagne se fait le devoir d’être un modèle dans les communautés où il a vécu. Au fil des ans, il a encadré et fait du mentoring pour près de 100 jeunes africains qui sont tous aujourd’hui des professionnels accomplis. Il a également lancé et dirigé avec succès les campagnes de travail communautaire, de charité et de dons.
Au Sénégal, à Gade Diagne, dans le village de ses grands-parents à Diourbel, depuis 1990 chaque année il fait don de plus de 2 tonnes de denrées alimentaires de base (riz, huile, sucre et savons) aux petits agriculteurs, aux villageois et aux communautés. Cela se produit en août, durant les périodes de soudure.
En 2018, il a fait don d’une mosquée, d’une maison d’hôtes communautaire et il a également construit une usine pour que le village et la communauté traitent leur récolte pour améliorer leurs revenus pour une vie meilleure.
En Afrique du Sud, sous son impulsion, son équipe à la Barclays Bank a lancé avec succès une campagne de charité et de dons au sein de la banque pour collecter des fonds pour construire 6 salles de classe dans les quartiers noirs défavorisés de Diepsloot.
Au Crédit Suisse, à la Barclays Bank, à Atlas Mara et à TDB, il a également réussi à défendre des académies bancaires qui ont formé près de 15 000 collègues.
Moctar FICOU / VivAfrik
